Tout accompagnement débute par une rencontre physique d’une heure à une heure trente au plus près du domicile.
Ce rendez-vous vise à comprendre la problématique mobilité, et plus largement le contexte d’intervention, à savoir la situation sociale, familiale et budgétaire de la personne.
A la fin de cette première rencontre, le(la) conseiller(e) mobilité détermine avec la personne accompagnée les freins à la mobilité à lever en priorité. Le conseiller mobilité recherche des solutions et/ou proposera des pistes de travail dans le cadre d’un accompagnement plus long dit « renforcé ».
Au terme de cette phase de diagnostic, soit la personne accompagnée accepte l’accompagnement renforcé et une nouvelle date de rencontre lui est proposée soit elle ne souhaite pas engager de nouvelles démarches.
Dans tous les cas, s’il y a un prescripteur ce dernier sera informé du diagnostic posé avec l’accord de la personne accompagnée et des solutions envisagée.
Selon les cas :
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Soit ce diagnostic a permis de mettre en lumière certains freins légers et donc, de conseiller des solutions à mettre en place rapidement ; ou bien des freins annexes, à traiter en priorité. Dans ce cas, il n’est pas nécessaire de démarrer un accompagnement renforcé avec la personne rencontrée.
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Soit, les freins décelés peuvent être levés. Dans ce cas, un plan d’actions adapté est proposé à la personne, en prenant en compte les particularités de chaque situation. Cette rencontre marque alors le démarrage d’un accompagnement renforcé, basé sur une confiance réciproque.
Quelle que soit la suite donnée à l’accompagnement, Mob’Actions informera le prescripteur de l’évolution de la situation.